Dans un communiqué, l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) a indiqué avoir mis en évidence un parallèle entre l'augmentation des signalements d’effets indésirables graves en lien avec la dose d’ibuprofène – notamment des hémorragies gastro-digestives et des atteintes rénales – et la multiplication du nombre de publicités auprès du grand public pour cette présentation à 400 mg. Selon l'Agence, les campagnes de communication « n’ont pas été de nature à inciter les patients à débuter leur traitement par la dose la plus faible ». Elle a donc décidé d'interdire les publicités à destination du grand public pour les spécialités les plus dosées à partir du 2 avril prochain.