Le cabinet pointe en particulier « des signaux d’alerte » dans le social et le médical qui enregistrent 200 fermetures en trois mois. Si la plupart des activités B2C « repassent dans le vert », comme c’est le cas de la parfumerie ou l’optique, « l’évolution reste décevante pour la pharmacie », avec 18 fermetures (+ 38 %) en un trimestre. Ce qui place les officines à la troisième place des secteurs les plus sinistrés dans le commerce de détail (hors alimentaire) et les services à la personne, derrière les auto-écoles (+ 70 %) et les magasins d’articles de sport (+ 55 %). Un chiffre cohérent avec les estimations des syndicats tablant sur plus de 300 disparitions d’officines pour l’année 2024, contre 276 enregistrées en 2023 selon les données du GERS Data.