Plus de 70 % des officinaux ayant répondu à notre sondage quitteront effectivement leur comptoir durant deux ou trois semaines (dans 80 % des cas) en espérant se ressourcer après des mois éreintants. Il convient toutefois de souligner que parmi ceux qui prendront le chemin des vacances, plus d’un tiers partira finalement moins de temps que prévu. Au sein de ceux qui seront à pied d’œuvre tout l’été, seuls 11 % le sont pour des raisons positives qui résultent d’un surcroît d’activité de leur pharmacie durant cette période.
Irremplaçables
Une situation beaucoup plus enviable que celle des autres 11 % qui sont contraints par des difficultés économiques, notamment liées à la désertification médicale dans leur secteur. Mais les principaux écueils rencontrés par les trois quarts des non-vacanciers en puissance demeurent le manque de personnel dans l’équipe et les problèmes récurrents pour trouver un remplaçant.