La soumission chimique charrie de nombreuses idées reçues. Un état de fait délétère pour les victimes, mais aussi dans l’organisation de la lutte contre ces agressions.
Le nombre de cas suspects signalés à l’ANSM dans le cadre de son étude sur la soumission et la vulnérabilité chimique a augmenté de 17 % entre 2018 et 2019.