La Cour de cassation a confirmé cet été la condamnation d’un employeur à des dommages-intérêts et à des indemnités de licenciement pour n’avoir pris aucune mesure pour faire cesser des faits répétés de harcèlement moral dont il était informé. Et ce, bien que la salariée ait rompu d’elle-même son contrat de travail – reprochant à l’employeur de ne pas respecter ses obligations – à l’issue d’un congé parental.