Côté soignants, les pharmaciens sont les plus enthousiastes, devant les spécialistes hospitaliers et les généralistes.
Là où les officinaux font bande à part, c’est lorsqu’ils sont interrogés sur la difficulté d’accès aux médicaments : quand 50 % d’entre eux ont le sentiment qu’il est difficile de se procurer les spécialités dont ils ont besoin, seuls 33 % des généralistes, 20 % des praticiens hospitaliers et 27 % du grand public sont de leur avis. Pire encore : 83 % des élus (municipaux, départementaux et régionaux) interrogés estiment, eux, que tout va bien sur ce point. Un résultat qui laisse songeur. Cependant, 66 % de ces hommes politiques jugent que la France n’investit pas assez dans l
Là où les officinaux font bande à part, c’est lorsqu’ils sont interrogés sur la difficulté d’accès aux médicaments : quand 50 % d’entre eux ont le sentiment qu’il est difficile de se procurer les spécialités dont ils ont besoin, seuls 33 % des généralistes, 20 % des praticiens hospitaliers et 27 % du grand public sont de leur avis. Pire encore : 83 % des élus (municipaux, départementaux et régionaux) interrogés estiment, eux, que tout va bien sur ce point. Un résultat qui laisse songeur. Cependant, 66 % de ces hommes politiques jugent que la France n’investit pas assez dans l