À condition que cet acte représente, en nombre, au moins 15 % de l’ensemble des vaccinations réalisées à l’officine en 2025, et 25 % en 2026. Un impératif atteint sans difficulté : 23,8 % des vaccinations effectuées à fin mars le sont sur prescription du pharmacien. Ce n’est pas la seule mesure portée par l’avenant économique. S’appuyant sur les résultats du premier trimestre 2025, la FSPF projette, sur l’année, un apport des revalorisations des gardes, de l’honoraire à l’ordonnance et de la Rosp exceptionnelle, respectivement de 15, 65 et 13 millions d’euros, soit un total de 93 millions d’euros (4 600 euros par officine en moyenne). S’y ajoute la « croissance naturelle », hors génériques et biosimilaires, estimée à 176 millions d’euros. Au total, l’amélioration attendue est de 269 millions d’euros (13 350 euros par officine).